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Insolite

Les salades bio fleurissent sur les toits des supermarchés new-yorkais

Portrait de Renaud Schira
Date: 
20/01/2014

Les légumes directement de la terre au cabas, c'est le pari insolite de la chaîne américaine de supermarchés bio Whole Foods Market.

 

Soucieuse de limiter au maximum le transport responsable d'émission de dioxyde de carbone et de proposer à ses clients des fruits et légumes toujours plus frais, la célèbre enseigne a eu l'idée pour le moins originale d'installer des serres sur le toit de ses supermarchés.

 

C'est le nouveau magasin de Brooklyn qui a inauguré ce nouveau concept lors de son ouverture le 17 décembre dernier, fruit d'un partenariat avec l'association Gotham Green, conceptrice de jardins urbains. Tout a été pensé afin de préserver au mieux l'environnement dans une optique 100% bio. Bien sûr, les pesticides sont exclus. Le système d'irrigation a été prévu pour économiser 20% d'eau par rapport à une plantation ordinaire et le système électrique bénéficie également des dernières avancées technologiques dans ce domaine afin de réduire au maximum les pertes énergétiques. Avec ses 2000 mètres carrés de serres recouvrant le toit du bâtiment, Whole Foods Market espère approvisionner le rayon  primeur en quantité suffisante. La première cueillette, en revanche, ne sera pas effective avant le printemps.

 

D'ici là, les clients du magasin new-yorkais peuvent d'ores et déjà choisir entre salades et sandwichs pour le déjeuner au stand de la vente à emporter, ou déguster un délicieux smoothie bio au bar à jus. Le tout élaboré à partir de fruits et légumes issus de producteurs locaux. Toujours dans cet état d'esprit, des parkings spécialement aménagés pour les deux roues ont été installés afin d'encourager le vélo comme moyen de locomotion des citadins et éviter ainsi les émissions de CO2. Définitivement engagé dans le respect de l'environnement, des ateliers découvertes pour les écoles du quartier sont prévus afin de sensibiliser les plus jeunes aux bienfaits de l'agriculture bio.

 

Insolite ou avant-gardiste, l'avenir nous le dira. Sûr de son projet, Whole Foods Market prévoie déjà d'équiper ses autres supermarchés. Les légumes pousseront-ils bientôt sur les toits des supermarchés français ?

Source: 
Bioalaune.com

26/01/2014
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Biodiversité : La lutte contre la contrefaçon va t-elle nier les droits des agriculteurs ?

12 novembre 2013 : Lettre ouverte aux Sénateurs français.

La lutte contre la contrefaçon va t-elle nier les droits des agriculteurs ?

Le 20 novembre 2013, les sénateurs discuteront et voteront en séance publique une proposition de loi « tendant à renforcer la lutte contre la contrefaçon », un sommet dans la recherche de profit absolu. Il n’est plus ici question de vendre et d’acheter. Il s’agit, pour les firmes, de s’approprier le savoir acquis au quotidien par les paysans d’aujourd’hui et d’hier.

En 10 000 ans d’agriculture, on ne s’était jamais posé la question. Les paysans ont semé et choisit, saison après saison, les graines qu’ils allaient replanter. De la même manière, les éleveurs ont sélectionné leurs reproducteurs. C’est leur métier. C’est ce qui fait aujourd’hui de l’agriculture un domaine riche de savoirs, ce qui nous a permis de conserver la diversité du vivant. C’est un patrimoine universel qui n’a pas de prix.

On le croyait en tout cas, jusqu’à ce que certains décident de se désigner comme propriétaires de ce patrimoine. C’est donc au nom de la « propriété intellectuelle » que quelques industriels feront payer, de façon systématique, les paysans qui ne faisaient alors que leur métier.

Cette proposition de loi, et l’arsenal juridique déjà existant, piègent de fait les paysans. Ressemer des semences, donc les reproduire, sera une contrefaçon. Le paysan pourra alors voir sa récolte simplement saisie par les services de l’État. Pour éviter tout problème, il devrait donc, chaque année racheter ses semences ou payer des royalties. Le fonctionnement sera le même en élevage pour les mâles reproducteurs. Et il n’y a pas d’échappatoire ! Tout paysan qui ne pourra présenter les factures de ses semences, de ses animaux ou de ses préparations naturelles sera considéré, a priori, comme étant dans l’illégalité. L’industrie se retrouve donc seule à avoir le droit de poursuivre le travail engagé par les paysans depuis des millénaires !

Cette loi, en criminalisant le métier même de paysan, nie leur savoir, et bafoue leur liberté. Elle porte aussi l’appauvrissement irrémédiable de la biodiversité. C’est cette responsabilité que nos élus portent en ce moment. Et il est de notre devoir de le leur rappeler. Une lettre ouverte a donc été adressée aux Sénateurs français le 12-11-2013 par le Collectif Semons la Biodiversité rejoint ici par Terre et Humanisme.

Vous pouvez téléchargez cette lettre ainsi qu’un argumentaire développé pour comprendre les dangers de la proposition de loi en l’état et l’amendement soutenu par le collectif.


21/11/2013
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ARTICLE JOURNAL

Les pesticides interdits dans les espaces verts et les jardins

Le Monde.fr | 23.01.2014 à 18h31 • Mis à jour le 23.01.2014 à 19h14 | Par Audrey Garric


Le Parlement a
        voté l'interdiction des produits phytosanitaires dans les
        espaces publics à partir de 2020 et dans les jardins
        particuliers à compter de 2022.

C'est une petite avancée dans la bataille contre les pesticides : le Parlement a définitivement adopté, jeudi 23 janvier, une proposition de loi écologiste qui interdit en France les produits phytosanitaires (insecticides, herbicides, fongicides, etc.) dans les espaces verts publics à partir de 2020 et dans les jardins particuliers à compter de 2022. 

L'Assemblée nationale a voté ce texte dans les mêmes termes que le Sénat le 19 novembre. Outre les écologistes, les socialistes, les radicaux, l'UDI et le Front de gauche ont voté pour, tandis que les élus UMP se sont prononcés contre ou abstenus.

45 % DE FRANÇAIS JARDINIERS AMATEURS

Le texte interdit aux personnes privées ou publiques d'utiliser, à partir du 1er janvier 2020, les produits phytosanitaires pour l'entretien des espaces verts, des forêts ou des promenades « accessibles ou ouverts au public et relevant de leur domaine public ou privé », à l'exception des voies ferrées, des pistes d'aéroport ou des autoroutes pour des « raisons de sécurité publique ». Les pesticides pourront par contre toujours être utilisés en cas d'urgence sanitaire.

Par ailleurs, à partir du 1er janvier 2022, la commercialisation et la détention de produits phytosanitaires à usage non professionnel seront interdites. Cette disposition vise les 45 % de Français qui possèdent un jardin ou un potager. Au total, cette loi concerne 5 à 10 % des pesticides utilisés en France — le reste étant destiné à l'agriculture.

PRODUITS DANGEREUX

« Ce texte est une grande avancée qui va changer la vision et le comportement des gens par rapport aux pesticides, se félicite Brigitte Allain, rapporteuse (EELV) de la proposition de loi et députée de la Dordogne. S'ils ont pu donner l'illusion d'une solution miracle pour leurs utilisateurs, ces produits sont avant tout dangereux, pour les hommes et les écosystèmes. »

En juin, une vaste expertise collective pilotée par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) avançait une « présomption forte » de lien entre certains cancers ainsi que la maladie de Parkinson avec l'usage de pesticides chez les professionnels qui les manipulent. Selon l'étude, l'exposition des femmes enceintes — les agricultrices mais aussi les femmes qui utilisent les pesticides à des fins domestiques — augmente également le risque, pour l'enfant à naître, de tumeurs cérébrales, de leucémies, de troubles de la motricité fine ou de déficit cognitif.

Lire notre synthèse : Pesticides : les preuves du danger s'accumulent

« Les jardiniers et non-professionnels ne sont pas formés pour les manipuler. Même à faible dose, ces produits exposent la population, et notamment les enfants et les femmes enceintes, plus fragiles », confirme François Veillerette, président de l'organisation non gouvernementale Générations futures, association qui se consacre à la lutte contre les pesticides, et qui regrette toutefois le long délai de mise en application de la loi.

Pour Brigitte Allain, ce calendrier doit permettre aux collectivités de former leurs agents à de nouvelles pratiques, et aux industriels d'orienter leur recherche et leur production vers des solutions plus naturelles.

PLANS « ZÉRO PHYTO »

Nombre de communes n'ont toutefois pas attendu la loi pour bannir ou réduire les pesticides : 40 % d'entre elles ont déjà mis en œuvre un plan « zéro phyto », selon le groupe EELV à l'Assemblée. A Versailles (Yvelines), par exemple, les produits phytosanitaires ont été intégralement remplacés par des désherbeurs thermiques et les classiques débroussailleuses et binettes. Ce sont ainsi 130 000 litres de produits chimiques qui ne sont plus déversés chaque année dans la nappe phréatique, selon la mairie, qui assure économiser 25 500 euros par an. En dix ans, les produits chimiques ont également été réduits de 95 % à Nantes et de 90 % à Rennes.

Reste que la France est le premier consommateur de pesticides en Europe. Le plan Ecophyto, lancé en 2008 à la suite du Grenelle de l'environnement afin de réduire l'usage des produits phytosanitaires de 50 % d'ici à 2018, ne montre pas les résultats escomptés.


26/01/2014
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Nouveautés sur le blog: interviews de nos producteurs

 

 

A travers les minutes nécessaires, retrouvez les infos toutes fraîches de nos producteurs!


10/02/2013
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Journée à la ferme du Salet

Un petit coup de mains est toujours le bienvenue !!!

C'est avec cette devise que quelques amapiens de Saouzelong se sont rendus à la ferme du Salet chez Cécile et Vincent.

Le projet : remonter un silo à grain afin d'y entreposer les récoltes de pois de l'année....

Cette mission, si vous l'accepter.......

 

                                                  Une équipe chic ...de choc!!!

 

Et voilà le travail...

 

 

JB et ses "poules".                                                                               Pierre au taquet!

 

 

Et comme dans toute histoire, tout fini par un repas.

 


22/09/2012
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Voeux de nos producteurs

 

Nous vous présentons nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année: santé bonheur pour tous.

Nous vous remercions pour la confiance que vous nous accordez et pour l’ intérêt que vous portez au maintien de l’agriculture paysanne par le biais de notre AMAP.
un merci particulier au comité de pilotage pour son implication et tout le travail accompli.
nous espérons vous satisfaire encore longtemps.
Christophe, Jenny et Guillaume

07/01/2013
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Reportage de France 3 chez Alex du Vernou

En Ariège, un agriculteur mène depuis deux ans une expérience de traitement de ses vergers avec du lacto-sérum. Une alternative écologique et économique à l’utilisation en pomiculture de pesticides ou de produits contenant du cuivre.

 

Lien direct vers la vidéo du reportage :

 

  https://www.youtube.com/watch?v=oegYrt75Q10


24/09/2018
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Samedi 29 sept 2018 : Portes ouvertes au verger du Vernou

Flyer_MBEL_civambio09_2018_WEB2_Vernou.jpg

Cliquer sur l'image pour plus d'infos


24/09/2018
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Je voeux...des légumes

Nous venons vous souhaiter une belle et bonne année remplie de petits et grands bonheurs pour tous
un grand merci à vous tous pour votre engagement (envers nous mais aussi envers l’agriculture paysanne) et votre fidélité
espérant cette année, avec le soutien de madame météo (notre grand chef) vous satisfaire toute la saison de nos diverses productions
et encore (et toujours) un grand merci à tout le comité de pilotage pour leur énergie et le temps passé sans lesquels notre amap ne serait pas
Amapement votre
Guillaume,Jenny, christophe

13/01/2015
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Pourquoi on n'a pas ça, nous? (lol)

 

 Liu Xianzhen checks a swan-shaped gourd at his courtyard in Dacheng county, Hebei province. Photos by Zhu Xingxin / China Daily

 

"Le secret est de mettre en forme les gourdes tout au long de leur croissance" dit Liu, qui, avec ses mains et de la ficelle en plastique, sculpte patiement ses courges. 


14/11/2012
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